Neverwinter

Huit ans se sont écoulés depuis la sortie initiale de Neverwinter sur PC et cinq ans depuis la sortie sur console, alors comment se porte Neverwinter ? J’ai joué au jeu du début jusqu’au niveau maximum et au-delà pour le découvrir.

Ma première rencontre avec Neverwinter remonte à sa sortie en 2013. Étant un grand fan de Donjons et Dragons, et de tous les jeux précédents se déroulant dans les Royaumes oubliés, j’avais de grands espoirs pour cette sortie.

À l’époque, il s’est avéré être un jeu décent et a fini par être une sorte de MMORPG secondaire à mes principaux qui étaient WoW et Everquest à l’époque. Neverwinter était amusant à jouer occasionnellement avec un petit groupe d’amis et peut-être à résoudre quelques donjons ensemble.

L’un de mes plus gros problèmes avec Neverwinter au départ était qu’il ne ressemblait pas du tout à Donjons et Dragons. En particulier, le combat, qui ressemble davantage à un RPG d’action, n’a pas sa place dans un jeu de D&D.

Le monde semble également très petit et exigu puisque vous cliquez sur la carte pour vous déplacer d’une zone à l’autre. On n’a pas l’impression d’un grand monde ouvert, mais plutôt d’une série de petites zones où l’on ne peut se déplacer que là où les développeurs le souhaitent.

La plupart des maisons ou des bâtiments du jeu n’ont aucune fonction et on ne peut même pas y entrer, à l’exception de quelques-uns dans la ville de Neverwinter et dans les centres de quêtes. Cela donne également au monde l’impression d’être l’équivalent MMO d’un décor de film western.